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Presse : Articles de journaux


En l'an 2000, AMI Services naissait

A 20 ans, je crée AMI Services, une entreprise d'assemblage de micro-informatique à Croissy-sur-Celle. Passionné d'informatique depuis mon enfance, j'ai décidé de me lancer après avoir travaillé chez un autre assembleur. Installé dans une aile de la maison familiale, j'assemble ordinateurs et équipements. je veux démontrer le potentiel de l'informatique en zone rurale et offre des services variés, y compris en jeux vidéo. Je est aussi membre de Cognitus Informatique, un club local, cela me permet de rester à jour et de partager mes connaissances. Mon ambition est de contribuer au développement économique local.


En 2003

Après mes 22 ans, j'ai vécu des moments excitants et déterminants pour mon entreprise. Deux ans après avoir fondé AMI Services à Croissy-sur-Celle, j'ai déménagé nos ateliers et mes trois employés dans les anciens locaux de la SAFI à Salouël. C'était une étape importante pour nous. J'ai découvert ma passion pour l'informatique en terminale, ce qui m'a poussé à arrêter mes études de biologie animale pour me lancer dans ce domaine. Chez AMI Services, nous nous efforçons de fournir un service client exceptionnel. Nous accueillons nos clients pour parler de leurs besoins informatique, ce qui crée une ambiance conviviale et personnalisée, mon équipe et moi travaillons dur. Notre succès repose sur notre capacité à répondre aux besoins de nos clients et à nous adapter. J'étais un Artisant de l'informatique.

Article de presse sur Mignerey Pierre-Jacques dans Le Bonhomme Picard

2006

En 2006, je suis toujours a la tête de AMI, l'artisanat reflète la passion de mon métier: nous faisons de l'assemblage d'ordianteur sur mesure, toujours selon un cahier des charges, que ce soit pour un particulier ou un professionnel; Tant au niveau assemblage que du dépannage en atelier, nous ne faisons jamais payer le devis, et l'objectif est de répondre aux réelles attentes du client. Il ne s'agit pas de forcer bêtement à la vente. Notre surfaces de ventes etait bien moins larges que nos ateliers. Ensuite nous nous diversifions avec une salles de jeux videos, ainsi les "kids" viennent jouer en journée sur 11 postes, de nombreux trentenaires voire quarantenaires se retrouvents en soirée pour s'amuser virtuellement.


Depuis ...

Et bien ajouons que je ne voit plus l'intérets de la presse locale, et du coup m'y fait discret, je pense que ça ne touche plus les générations de moins de 50 ans